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segunda-feira, 29 de julho de 2013

A dança das mil mãos...

Vale a pena perder 5 min para ver

"Há uma dança impressionante, chamada de Guanyin de Mil Mãos, que está fazendo as rondas em toda a rede.
Considerando que é necessária uma afinada coordenação, a sua realização não é nada menos que incrível, mesmo que eles não fossem todos surdos.

Sim, você leu correctamente. Todos os 21 dos dançarinos são completamente surdos-mudos. 

Contando apenas com os sinais dos formadores, nos quatro cantos do palco, estes dançarinos extraordinários exibem um espectáculo visual que é ao mesmo tempo intricado e excitante. Sua grande estreia internacional foi em Atenas na cerimónia de encerramento da Paraolimpíada de 2004.


Mas há muito tempo que fazia parte do repertório dos Chinese Disabled People's Performing Art Troupe e já viajou para mais de 40 países. Seu bailarino principal é de 29 anos de idade Tai Lihua, que tem um BA da Fina Hubei Instituto de Artes. O vídeo foi gravado em Pequim durante o Festival da Primavera deste ano."



F. P.

domingo, 28 de julho de 2013

Les maîtres du monde reviennent-ils au Paléolithique ?

Il y a quelques jours, Bill Bonner méditait sur l'origine de la monnaie -- et je vous conseille vraiment d'aller lire (ou relire) ses réflexions, car elles posent des questions intéressantes sur l'état du monde actuel.
Il y a deux sortes de "monnaie", explique Bill : celle qui est basée sur le crédit... et la monnaie fiduciaire, en pièces sonnantes et trébuchantes, qui a une valeur intrinsèque.
"L'argent basé sur le crédit est à la fois très vieux... et très neuf", résumait Bill vendredi dernier. "Il a cessé de fonctionner il y a environ 5 000 ans. C'est à cette époque que la société humaine -- du moins dans les régions 'développées' -- est devenue trop grande pour le supporter. Dans une petite tribu, on peut suivre qui doit quoi à qui. On savait ce que valaient les reconnaissances de dette. Ces reconnaissances -- exprimant une relation entre des gens... s'étirant souvent sur de nombreuses générations -- sont de 'l'argent'. On savait qui les avait... qui honorerait ses obligations... quand et comment. En bref, c'était de 'l'argent' avec lequel on pouvait travailler".
"Mais dans une ville... ou une économie s'étendant sur plusieurs nations, langues, fuseaux horaires, cultures et juridictions politiques... un système basé sur le crédit s'effondre. C'est pour cette raison que les Romains utilisaient des pièces d'or et d'argent".
-  Actuellement, bien entendu, nous avons effectué un retour fracassant à la monnaie basée sur le crédit. Il n'y a plus que ça, ou presque. Des 85 milliards de dollars injectés mensuellement par la Fed à la carte bancaire bien rangée dans votre portefeuille, l'argent est immatériel, désincarné, presque abstrait.
En fait... j'ai l'impression que tout se passe comme si les autorités politiques, économiques et monétaires de la planète avaient décidé de constituer leur "petite tribu", pour reprendre l'expression de Bill un peu plus haut. De revenir au paléolithique, en d'autres termes, où il était plus simple et plus direct de traiter les dettes et le crédit.
Après tout, il suffit d'enlever quelques zéros à la quantité d'argent qui circule... de traiter chaque pays comme un seul membre de la tribu... et tout s'éclaire : M. Etats-Unis doit 1 100 à Mme Chine mais produit 85 tous les mois, Mme Italie doit 511 à Mme France, etc.
Beaucoup plus facile à suivre comme ça, et on peut rester entre soi. De plus, ça permet toutes sortes de manigances très pratiques quand on se retrouve dans le pétrin.
Certains évoquent même la possibilité d'un "jubilé". Simone Wapler expliquait le concept dans son livre Pourquoi la France va faire faillite -- là encore, on remonte dans l'antiquité : "chez les Hébreux, la législation sur le droit de propriété prévoyait un jubilé tous les cinquante ans. Toutes les familles devaient alors rechercher leurs disparus, les hypothèques et les dettes étaient effacées, les esclaves affranchis".
"Finauds, les Anciens avaient compris qu'il fallait éviter la dégénérescence du système de crédit vers la mise en esclavage des débiteurs par les créditeurs. Ils avaient observé que l'origine de bien des révolutions te troubles sociaux venait du surendettement".
Voyons voir... l'actuel système basé sur le crédit a été mis en place en 1971 par Nixon. Nous sommes en 2013... il a donc 42 ans d'existence. Vous je ne sais pas, cher lecteur, mais en ce qui me concerne, je verrais assez bien les autorités décider, au pied du mur, après sept ou huit années supplémentaires de "politiques non-conventionnelles" et autres bricolages monétaires, de passer l'éponge purement et simplement vers 2020... pour recommencer de zéro.
-  Hélas, comme le dit Simone "il ne faut pas oublier qu'à chaque dette correspond un actif quelque part".
Dans leur suffisance, les maîtres du monde ont oublié ce principe de base. Ils ont aussi oublié qu'ils ne sont pas seuls dans leur petit club -- et que des milliards d'êtres humains subissent et dépendent de leurs décisions.
Enfin, ils ont choisi d'ignorer les règles de base du monde réel.
"La titrisation, l'internationalisation des échanges, la disparition de tout lien physique entre un prêteur et un emprunteur rend désormais impossible l'organisation à grande échelle d'un tel jubilé," conclut Simone (dont vous pouvez commander le dernier livre ici).
"Trop tard, trop de dettes, il fallait lire les livres d'histoire avant de faire des bêtises".
Meilleures salutations,
C. A.


sábado, 27 de julho de 2013

L'eau, source de la discorde ?

La guerre de l'eau va-t-elle enfin allumer la mèche ? Le concept est apparu en 1993, quand Christian Chesnot publie La Bataille de l'eau au Proche-Orient. La thèse selon laquelle l'eau et sa possession est une des sources de conflit majeur pour le 20ème siècle mais surtout pour le 21ème siècle a depuis fait florès. Il suffit de taper l'expression "guerre de l'eau" dans votre moteur de recherche préféré pour prendre conscience du nombre d'articles s'intitulant : "la guerre de l'eau aura-t-elle lieu ?"
L'inquiétude est d'autant plus justifiée que les ressources en eau douce (2% de l'eau contenue sur la planète) s'amenuisent et que, surtout, la demande flambe. D'ici à 2030, les ressources d'eau douce disponibles seront de 40% inférieures à la demande.
Selon l'ONU, 263 réserves d'eau (fleuves, lacs, rivières ou nappes phréatiques...), représentant 60% des réserves d'eau douce de la planète, sont partagées entre au moins deux pays. Des "bassins internationaux" qui peuvent très vite cristalliser les crispations dès que l'approvisionnement en eau ne coule plus de source.
Les exemples sont nombreux... et ne datent pas d'hier. Est cité comme premier exemple d'une guerre de l'eau le conflit qui a opposé les deux cités mésopotamiennes, Lagash et Umma, pour le contrôle de canaux d'irrigation dérivés du Tigre. Et depuis ?
L'eau est un élément indispensable non seulement à la consommation humaine mais aussi à l'agriculture (qui représente 70% de la consommation d'eau douce mondiale) mais aussi à l'industrie (pour la production d'énergie mais aussi pour l'industrie minière, chimique, textile, etc.). Les besoins, et tout particulièrement des pays émergents, vont donc très fortement augmenter dans les années qui viennent pour accompagner leur croissance économique. De quoi faire craindre une explosion de la violence liée à la possession d'eau ?
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Turbulences boursières, volatilité, retournements inattendus, krachs...
PERTES INCONTROLABLES : PLUS JAMAIS CA !
Vous pouvez maîtriser les marchés -- et votre portefeuille... et cela en seulement 20 minutes par semaine. Voici comment...
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L'eau est rarement la cause réelle d'un conflit entre pays mais facteur aggravant. C'est le cas par exemple entre Israël et ses voisins qui, outre leurs sources de conflit bien connues, s'affrontent aussi sur le partage des eaux du Jourdain ou encore sur certaines nappes phréatiques. Un des déclencheurs de la guerre des Six Jours est le projet de détournement du Jourdain.
Autre conflit, latent cette fois, celui qui oppose la Turquie à la Syrie ou l'Irak. La Turquie a en effet entrepris la construction d'une vingtaine de barrages sur le Tigre et l'Euphrate. Or, selon la Syrie et l'Irak, qui se trouvent en amont de la Turquie, ces projets menacent leur approvisionnement en eau. La guerre diplomatique et politique a failli en passer plusieurs fois par les armes depuis les années 70. En 1990, la Turquie a bloqué par exemple l'Euphrate pendant un mois pour remplir le lac du barrage Atatürk. Les tensions entre ces pays sont toujours d'actualité sans que de solutions durables soient trouvées.
La possession de ressources d'eau explique aussi en partie certains choix géostratégiques fait des par des Etats. Le Tibet est ainsi la quatrième réserve d'eau douce au monde et est la source des cinq principaux fleuves d'Asie, le Brahmapoutre, le Mékong, l'Indus, le Fleuve Jaune et le Yangtsé (Fleuve bleu). Les nombreux projets de barrages qui naissent régulièrement dans les arcanes du pouvoir chinois font ainsi trembler toute la région.
Même chose pour les différents barrages construits par l'Inde, comme l'explique Le Monde : "l'Inde reproche à la Chine un égoïsme de l'eau qu'elle inflige elle-même à ses voisins situés en aval. Car le Bangladesh aussi se plaint amèrement des projets indiens de barrages ou de retenues d'eau sur le Brahmapoutre comme sur le Gange. Dans cette affaire, la tâche de New Delhi est compliquée par les intérêts particuliers de ses propres Etats fédérés, comme l'a illustré l'attitude récalcitrante du Bengale-Occidental qui a fait capoter en 2011 un projet d'accord indo-bangladais sur la rivière Teesta. Cette question du partage de l'eau alimente également au Népal des sentiments hostiles à New Delhi".
La coopération, outil essentiel de la politique de l'eau
Cependant, le caractère indispensable de l'eau incite à la coopération. La plupart des conflits liés à l'eau se concluent de manière pacifique, comme le rappelle Alternatives économiques : "depuis 50 ans, 1 228 des 1 831 litiges entre Etats concernant le partage des eaux ont été réglés de manière coopérative. Et que, dans les cas conflictuels, seuls 35 se sont accompagnés de violences, la violence militaire n'intervenant qu'à 21 reprises... dont 18 entre Israël et ses voisins".
"Le Comité du Mékong, par exemple, créé en 1957 comme agence intergouvernementale entre le Cambodge, le Laos, la Thaïlande et le Viet Nam, n'a pas cessé d'échanger des données et des informations sur la mise en valeur des ressources en eau durant toute la guerre du Viet Nam (1955-1975). Israël et la Jordanie ont tenu des pourparlers secrets 'de table de pique-nique' sur la gestion du Jourdain à la suite des négociations infructueuses de Johnston en 1953-1955, alors même qu'ils ont été en guerre de l'indépendance d'Israël en 1948 jusqu'au traité de paix de 1994″, explique d'ailleurs un article publié en janvier dans Planète Science.
Le traité dit de l'Indus, signé en 1960, réglemente le partage des eaux entre l'Inde et le Pakistan et a résisté aux trois guerres qui ont opposé les deux pays depuis. L'Unesco, qui a lancé en février dernier une Année internationale de la coopération dans le domaine de l'eau, souligne que la coopération reste pour le moment le moyen privilégié de résolutions des conflits liés à l'eau.
-  L'eau, révélateur de tensions sociales
Le même article de Planète Science cité plus haut souligne que plutôt que les tensions internationales, les problèmes d'approvisionnement d'eau accroissent l'instabilité sociale et politique au sein des Etats. C'est le cas au Brésil, où le projet de barrage de Belo Monte dont la construction qui a commencé l'année dernière a soulevé une véritable opposition sur fond de lutte sociale. Ce barrage qui devrait devenir le troisième plus important au monde recouvrera 500 km2 de forêt amazonienne et entraînera le déplacement 16 000 personnes (Indiens essentiellement).
En 2000, la guerre de l'eau en Bolivie s'est traduite par de violentes manifestations après l'augmentation des tarifs de l'eau à Cochabamba, troisième plus importante ville du pays.
Dernier exemple des tensions qui peuvent naître du problème d'eau : la migration depuis le début d'année d'habitants fuyant l'Ouest de l'Inde, frappée par la pire sécheresse enregistrée depuis 40 ans pour se réfugier vers les grandes villes de la région. 3,5 à 4 millions d'Indiens seraient attendus dans ces centres urbains.
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LE BOOM DONT PERSONNE NE PARLE
Alors que les médias et le grand public restent obsédés par la crise économique, ce phénomène pourrait faire grimper trois secteurs bien précis... et rapporter des gains potentiels à deux ou trois chiffres.


C. A.

sábado, 20 de julho de 2013

Angela Merkel descarta nova remissão da dívida para Grécia

Segundo a chanceler alemã, uma remissão da dívida provocaria uma "incerteza em massa" na eurozona

Angela Merkel: a chefe do governo alemão deu as declarações durante a tradicional entrevista coletiva para fechar o curso político, na qual também fez um balanço de sua legislatura
Berlim - A chanceler alemã, Angela Merkel, descartou nesta sexta-feira a possibilidade de que a Grécia necessite recorrer a uma nova remissão de sua dívida soberana para sanear suas finanças, algo que poderia gerar incerteza e ameaçar as reformas desenvolvidas na Europa.
A chefe do governo alemão fez estas declarações durante a tradicional entrevista coletiva para fechar o curso político, na qual também fez um balanço de sua legislatura diante das eleições parlamentares do próximo dia 22 de fevereiro.
"Não vejo isso (a remissão da dívida) para Grécia", respondeu diretamente Merkel, que advertiu que uma remissão da dívida helena provocaria uma "incerteza em massa" na eurozona e "colocaria em perigo tudo o que foi realizado" em matéria de reformas na Europa no último ano.
Pouco antes, a chanceler tinha destacado os "progressos" registrados em todos os países da União Europeia (UE) com dificuldades para superar a crise global, ratificando o compromisso de seu governo com o euro.
"Os déficit desceram notavelmente, inclusive na Grécia", apontou a chanceler, que também reconheceu que demorou para perceber as dificuldades financeiras dos bancos na Europa e que há quatro anos não achava necessário um supervisor bancário comum.

=Exame.com=

Cada vez mais Gregos

O ministro das Finanças alemão chegou ontem a Atenas para supostamente mostrar "confiança" nos gregos e na sua capacidade de concretizarem a austeridade imposta pela ‘troika'.
 Bruno Proença 
O ministro das Finanças alemão chegou ontem a Atenas para supostamente mostrar "confiança" nos gregos e na sua capacidade de concretizarem a austeridade imposta pela ‘troika'. Para presentear a visita, o parlamento grego aprovou na madrugada anterior o despedimento de 25 mil funcionários públicos, através de um mecanismo semelhante ao que está a ser implementado em Portugal: a mobilidade especial ou, na versão governamental, a requalificação. Este episódio deve ser uma revelação para os portugueses. Nos últimos três anos, a desgraça grega tem sido uma antecipação do que acaba por acontecer a Portugal, nomeadamente a falência do país, o pedido de ajuda internacional e aceitação de fortes pacotes de austeridade impostos pelos credores.

Durante muito tempo, os gregos foram boicotando a aplicação das medidas combinadas com a ‘troika'. Ficaram famosas as manifestações violentas, as greves gerais e a crise política que fez a extrema-esquerda sonhar com o poder. Resolveu alguma coisa? Obviamente que não. Internamente, a Grécia continua mergulhada numa depressão económica, com uma taxa de desemprego que supera os 25%. Externamente, os credores desconfiam dos gregos, por isso não têm acesso a financiamento. E já foram obrigados a um segundo resgate que implicou uma reestruturação da dívida. Com isto, mais austeridade e as reformas duras lá vão sendo implementadas.

Como se vê, o exemplo grego está longe de ser feliz. Ser cábula e rebelde resolve pouco. Por isto, desde o arranque da aplicação do memorando que Portugal fez - e bem - um esforço para se afastar da Grécia. No último ano, à custa de todas as dificuldades suportadas pelos portugueses derivadas do agravamento fiscal, dos cortes nas transferências sociais e nos salários da função pública, foi possível uma aproximação à Irlanda e um afastamento do caso grego. Isto notou-se na redução das taxas de juro e em algumas operações com dívida pública de médio prazo realizadas pelo Governo.

Porém, nas últimas três semanas, perdeu-se tudo. Com a irresponsabilidade dos políticos, Portugal inverteu a trajectória e correu na direcção da Grécia. Primeiro, a demissão de Gaspar, depois a de Portas, uma remodelação em suspenso, o discurso de Cavaco Silva e um incerto compromisso de salvação nacional mostram que o país está a caminhar para o abismo. Os juros rapidamente subiram e fixaram-se acima dos 7%, os investidores afastam-se e a ‘troika' perde confiança. A solução à irlandesa do programa cautelar pode ser substituída por um segundo resgate, tal como aconteceu na Grécia.

Este caminho ainda não é irreversível. Portugal ainda vai a tempo de escapar ao abismo mas o pântano político tem que se clarificar rapidamente. Os partidos políticos devem chegar a um acordo político que seja substantivo. Ou seja, que garanta a reforma do Estado, um tecto para a despesa e uma trajectória consistente de descida da dívida pública. Portugal pode tentar renegociar parte do memorando mas não pode entrar em incumprimento unilateral. Esta tentação defendida pela esquerda seria empurrar o país para um segundo resgate e austeridade ainda mais dura. Portugal deve continuar a cumprir, ter posições consistentes para negociar com a Europa e fugir da Grécia.

=Económico=

domingo, 14 de julho de 2013

Rajoy manteve-se em contacto com Bárcenas até Março e pediu-lhe silêncio

Líder da oposição socialista, Alfredo Rubalcaba, exigiu a "demissão imediata" do chefe do governo por considerar a situação politicamente "insustentável.
O presidente do Governo espanhol, Mariano Rajoy (Partido Popular, direita), que dissera não ter ideia de quando falara pela última vez com Luis Bárcenas, manteve contacto com o ex-tesoureiro até Março deste ano. Encontraram-se, trocaram emails e mensagens de telemóvel e falaram ao telefone. "Estamos a fazer o que podemos", diz uma dessa mensagens, "ânimo, Luis".
O conteúdo das mensagens foi revelado este domingo pelo jornal El Mundo, tendo a agência EFE conseguido uma reacção do executivo à notícia. Fontes populares disseram que esta divulgação é uma estratégia de Bárcenas para desviar as atenções do caso judicial contra si e só provam que age por vingança ao não ter conseguido o que pedia a Rajoy.
O líder da oposição socialista, Alfredo Rubacalba, exigiu este domingo a "demissão imediata" do Governo e declarou que o seu partido rompia todas as relações com o PP. "Face à situação política insustentável que a Espanha atravessa, o partido socialista vê-se obrigado a exigir a demissão imediata do chefe do Governo, Mariano Rajoy", disse Rubacalba que após a divilgação das mensagens convocou uma conferência de imprensa em Madrid.
Luis Bárcenas, que chegou ao cargo de tesoureiro do Partido Popular (direita) por nomeação de Rajoy, foi investigado devido a outra rede de corrupção que envolve os populares e que é conhecida por Caso Gürtel. De início, e durante quase um ano, manteve-se em silêncio devido ao apoio que recebia do presidente do Governo.
O complicar do caso levou os populares a deixarem cair o seu ex-tesoureiro, que chegou a ter 47 milhões de euros em contas na Suíça — no sábado o juiz Rus ordenou o congelamento de mais cinco contas, estas em Espanha — e que alimentavam uma contabilidade paralela no PP e o pagamento de donativos por baixo da mesa a figuras importantes do partido. Mariano Rajoy surge nos documentos que o ex-tesoureiro entregou à Justiça como tendo recebido cerca de 25 mil euros desse dinheiro (que era entregue em sacos e caixas de charutos), violando a Lei das Incompatibilidades.
Decidiu revelar agora as mensagens porque não gostou da atitude do porta-voz do PP no Parlamento, Alfonso Alonso, que no final da semana passada disse que Bárcenas não passa de "um delinquente que fez da mentira o seu estilo de vida".
Na segunda-feira o antigo tesourteiro dos populares começa a ser ouvido pelo juiz que preside às investigações Gürtel e Bárcenas.
Os jornais espanhóis questionam nas edições deste domingo se Mariano Rajoy, que marcou uma conferência de imprensa para segunda-feira em conjunto com o seu homólogo da Polónia, responderá finalmente às pergunats dos jornalistas ou optará por manter-se em silêncio sobre o assunto. A última vez que s epermitiu uma declaração pública sobre a polémica, a 3 de Julho, foi precisamente para dizer que não falará.

A oposição tentou na semana passada que uma sessão de esclarecimento com Rajoy fosse agendada no Parlamento, mas a maioria popular chumbou a proposta. Antes destas novas revelações, os partidos tinham anunciado que iriam fazer novas tentativas e Rubacalba levantara a hipótese de apresnetar uma moção de censura ao Governo.
O ex-tesoureiro revelou que esta contabilidade paralela existie (ou existiu) durante 30 anos. Preso desde o dia 27 de Julho (a mando do juiz Pablo Rus para "evitar o risco de fuga e assegurar a preservação das provas"), Bárcenas não mais deixou de fazer revelações que podem acabar com a credibilidade já minada de Rajoy — terá mentido quando disse que a contabilidade paralela não existe e que nunca beneficiou de pagamentos ilegais, e foi tão vago que roçou a mentira ao dizer que não tinha ideia sobre a última vez que teve contacto com o ex-tesoureiro.
As mensagens mostram que esse contacto foi regular entre Maio de 2011 e Março de 2013. O El Mundo diz que Rajoy pede ao ex-tesoureiro para negar a existência da contabilidade parelela e os pagamentos. Em algumas das conversas a mulher de Bárcenas, Rosalia Iglesias, também participa.
Num SMS de 2012 Rajoy tenta acalmar Bárcenas: "Luis, nada é fácil, mas fazemos o que podemos. Ânimo". Já em 2013, dois depois de o El Mundo ter noticiado a contabilidade paralela e os pagamentos a políticos, o presidente do Governo insiste com Bárcenas para "ser forte".

=Público=

quinta-feira, 11 de julho de 2013

Affaire Tapie : si vous aussi vous n’avez rien suivi !

Alors que Bernard Tapie devient ministre du Logement de François Mitterrand, l’homme d’affaires vend au Crédit Lyonnais l’équipementier sportif Adidas. 
La banque revend ensuite rapidement la marque et c’est de cette transaction que le contentieux Adidas/Crédit Lyonnais voit le jour. Retour sur une affaire vieille de 20 ans.

L’affaire Tapie, Adidas/Crédit Lyonnais ou encore Tapie-Lagarde, autant de noms pour désigner une seule et même affaire dont l’épilogue ne semble pas vouloir se profiler. Tout commence en 1993, Bernard Tapie, homme d’affaires talentueux à la tête de la marque d’équipements Adidas mais aussi de l’Olympique de Marseille, se tourne vers la politique et le Parti Socialiste. Fervent combattant du Front National, il se voit proposer rapidement le poste de ministre du Logement par François Mitterrand.
Une cession pour éviter le conflit d’intérêt
En acceptant le poste, le nouveau ministre doit ainsi vendre Adidas et liquider toutes ses affaires pour ne pas être accusé de conflits d’intérêts. Bernard Tapie fait donc appel au Crédit Lyonnais partenaire du groupe Tapie, pour réaliser la vente de la marque aux trois bandes. La banque rachète ainsi la marque et la revend  ensuite plus du double à l’homme d’affaires Robert Louis-Dreyfus, soit un manque de 2 milliards de francs (300 millions d’euros) pour Bernard Tapie. La marque est même cotée en bourse en 1995 pour 1.667 milliard d’euros soit plus de cinq fois son prix de vente initial.
Un micmac judiciaire
A l’annonce du bénéfice réalisé par le Crédit Lyonnais lors de la vente, Bernard Tapie leur réclame 229 millions d’euros. La banque, à l’époque en faillite a pu être sauvée par l’Etat à l’aide du Consortium de Réalisation (CDR) : de l’argent public entre ainsi dans l’affaire.
En 1996, le CDR est condamné à verser 91,5 millions d’euros à Bernard Tapie. Et l’entité fait retarder la procédure judiciaire autant que possible. Et pour cause, neuf ans plus tard, le CDR est condamné à verser 135 millions d’euros à l’homme d’affaires à titre de dommages et intérêts. Un an plus tard, le jugement est annulé par la cour de cassation, et l’imbroglio judiciaire se poursuit. Ce dernier devient politique lorsqu’en 2008 et, la ministre de l’Economie Christine Lagarde décide de régler l’affaire à l’aide d’une commission arbitrale.
Affaire Tapie : acte II
L’affaire Adidas/Crédit Lyonnais devient ainsi l’affaire Tapie-Lagarde. La commission donne finalement raison à Bernard Tapie et lui accorde 405 millions d’euros, dont 135 millions d’euros pour préjudice moral. Le dossier revient sur le devant de la scène lorsque de nombreux éléments litigieux sont communiqués à des juges autour de la tenue de cette commission.
Des zones d’ombres sur les motivations qui ont poussé l’Etat à recourir à une commission d’arbitrale sont relevées par la justice. Les multiples rencontres entre Bernard Tapie et Nicolas Sarkozy à l’Elysée, ont également éveillé les soupçons, tout comme les liens de l’homme d’affaires avec l’un des juges arbitres de la commission, Pierre Estoup. Ce dernier a été mis en examen tout comme le directeur du cabinet de l’époque de Christine Lagarde, Stéphane Richard, pour fraude en bande organisée. Dernier évènement pour ce statu quo vieux de vingt ans : le principal intéressé, Bernard Tapie a également été mis en examen pour les mêmes motifs et ses biens ont été saisis. L'Etat a par ailleurs annoncé qu'il se porterait parti civile pour cette affaire.
L’affaire Tapie est sans aucun doute l’une des affaires politico-judiciaires les plus longues de la Vème République, et n’a toujours pas trouvé d’épilogue…

segunda-feira, 8 de julho de 2013

Révolution dans le monde réel : on passe à la pratique !


Le monde des objets réels -- la nourriture que vous ingérez, la voiture que vous conduisez, la chaise sur laquelle vous êtes probablement assis -- c'est "l'ancienne" économie, développée dans le monde physique. Ce monde d'atomes manipulés par les humains a évolué grâce à la rareté, aux essais et aux erreurs. Malgré la vitesse folle à laquelle l'économie numérique s'est développée, elle semble encore peu de chose en comparaison de l'ancienne économie. Dans son récent ouvrage Makers : La nouvelle r&eacut e;volution industrielle, Chris Anderson, ancien éditeur du magazine Wired, écrit :
"Grosso modo, l'économie numérique dans sa définition large représente 20 000 milliards de dollars de chiffre d'affaires, selon Citibank et Oxford Economics. Selon la même estimation, l'économie outre-web représente environ 130 000 milliards de dollars. En résumé, le monde des atomes est au moins cinq fois plus grand que celui des bits".
Mais comme l'explique Anderson, cette tendance va s'inverser.
Ces leçons s'appliqueront au monde réel lorsque les différences entre le monde numérique et le monde physique se réduiront -- et cela changera tout.
A la place d'une production industrielle à grande échelle, où sont vendus aux masses des produits "à taille unique", le monde industriel ressemblera de plus en plus à l'internet d'aujourd'hui. Il fera du "sur mesure" et de "l'individualisé" ; de nouveaux objets seront aussi facilement créés que le sont les pages web aujourd'hui.
Prenons l'exemple d'un innovateur qui a l'idée d'un produit spécifique qu'il souhaite créer. Aujourd'hui, son idée est limitée par les contraintes physiques de la technologie actuelle. Sans de gros investissements dans des équipements de fabrication et de la main-d'oeuvre, il ne peut pas facilement faire un prototype et donner corps à son idée. Il sera peut-être capable de manipuler avec précision un schéma de conception en utilisant les bits électroniques d'un ordinateur mais il n'est pas capable de manipuler des bits physiques de la même façon.
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Mais que se passerait-il si on pouvait, d'un simple mouvement de souris et en tapotant sur son clavier, créer des structures réelles avec ce genre de précision ? Que se passerait-il si tout le monde pouvait devenir un "fabricant" ?
Chris Anderson reconnaît bien volontiers que le titre de son livre Makers a été inspiré par un livre de science-fiction du même titre écrit par Cory Doctorow. Dans le livre original, Doctorow écrit :
"Les jours pour les entreprises qui portent un nom comme 'General Electric', 'General Mills' et 'General Motors' sont terminés. L'argent en jeu est comme du krill : un milliard de petites opportunités d'entreprises prêtes à être découvertes et exploitées par des gens intelligents et créatifs. Nous sommes aujourd'hui sur le point d'avoir tous des imprimantes 3D grand public, et les preuves de cela s'accumulent".
-  Tout le monde s'y met 
La première de ces preuves, on la trouve sur le site du premier e-commerçant au monde, Amazon.
En tant que consommateur, j'adore cette entreprise et les cartons estampillés du logo en forme de sourire d'Amazon se retrouvent fréquemment dans ma boîte aux lettres. Dorénavant, ces boîtes en carton souriantes envoyées aux domiciles et aux entreprises dans tout le pays pourront contenir des imprimantes 3D, des fournitures pour l'impression et des produits d'impression personnalisés. Amazon a créé une nouvelle boutique d'impression 3D sur son site web.
Un autre grand commerçant, Staples, s'est également engouffré dans le filon de l'impression 3D en devenant un distributeur de la gamme d'imprimantes grand public 'Cube 3D' de 3D Systems.
Une autre preuve est l'information selon laquelle Microsoft mettra en oeuvre un support de l'impression 3D dans sa dernière version de Windows, la version 8.1. Le système d'exploitation aura la capacité de se connecter automatiquement à une imprimante Cube, ce qu'on appelle le "plug-and-play". Ce sera alors aussi simple de se connecter à une imprimante 3D qu'à une imprimante 2D. En outre, Microsoft inclut des capacités logicielles supplémentaires pour les développeurs afin de faciliter la création d'applications comprenant la fonctionnalité d'impression 3D sur Windows.
Selon le vice-président de 3D Systems, Rajeev Kulkarni :
"Notre imprimante Cube 3D et l'écosystème des utilisateurs de la gamme Cubify offrent une expérience d'impression en 3D inédite, autonome et intuitive. L'intégration Microsoft rend Windows 8.1 compatible avec le Cube, améliorant ainsi encore plus l'étonnante expérience qu'offre 3D Systems à l'utilisateur".
Avec des applications faciles d'utilisation que permet le support Microsoft sur son système d'exploitation, le consommateur achètera et utilisera de plus en plus des imprimantes 3D. Cette situation rappelle celle que nous avons connue avec les imprimantes 2D au début des années 1980.
Le logiciel de publication assistée par ordinateur et les imprimantes bon marché ont facilité la création et l'impression de documents personnalisés. La publication assistée par ordinateur a entre autres fortement contribué au boom du PC lors de cette décennie. Aujourd'hui, c'est au tour de la "fabrication assistée par ordinateur". Qui sait ? Peut-être qu'elle sera l'application majeure dont Microsoft a besoin pour se requinquer.
"La plupart des informations dont je dispose ne peuvent pas être diffusées dans les médias... Pourtant, certaines pourraient vous permettre de réaliser des gains de 25%... 34,5%... 60%...et bien d'autres encore".
DECOUVREZ TOUT CE QUE CET INVESTISSEUR NE REVELERA PAS EN DIRECT A LA RADIO !

C. A.

D'où vient notre "petite voix" intérieure ?

Vous avez déjà entendu une petite voix dans votre tête ? 

Ne craignez rien, vous n'êtes pas fou ! Elle existe bien, des chercheurs français expliquent d'où elle vient.


Le mystère de la petite voix intérieure est enfin résolu ! L'équipe de chercheurs du CHU de Lyon a suivi quatre personnes souffrant d'épilepsie sévère et porteurs d'électrodes dans le cerveau. Grâce à ces électrodes et à un encéphalogramme, les chercheurs ont pu suivre leur activité cérébrale pendant qu'ils lisaient un texte en silence. Ils ont alors observé que, pendant cette lecture, la partie ducerveau qui réagit aux sons extérieurs s'est activée. Le cerveau a donc intéprété la lecture mentale comme une voix extérieure. "Pour la première fois, grâce à cette étude, nous avons pu « voir » en temps réel la trace de cette petite voix, a commenté le Dr Jean-Philippe Lachaux, à la tête de cette étude. Nous ne nous y attendions pas forcément car il s'agit d'un phénomène très immatériel. Le cerveau crée le son à partir de rien, à chaque mot". Selon ces chercheurs, nous associons les sons et les mots dès l'enfance lorsque nous apprenons à parler et à lire à voix haute. Et ce, même si le texte est lu en silence. Cette étude pourrait aider les personnes atteintes de schizophrénie à mieux gérer cette petite voix qui prend parfois le contrôle de leur cerveau.

Source : How Silent Is Silent Reading? Intracerebral Evidence for Top-Down Activation of Temporal Voice Areas during Reading, Jean Philippe Lachaux, Journal of Neuroscience


=Medisite=

sexta-feira, 5 de julho de 2013

Révolution dans le monde réel

Aujourd'hui comme tous les autres jours, j'ai fait chauffer mon ordinateur.
J'ai lu des informations disponibles gratuitement sur les derniers développements technologiques. Dans un passé pas si lointain, cela aurait nécessité que je me rende à la bibliothèque afin d'y consulter des journaux trop nombreux pour pouvoir tous me les procurer.
J'ai lu les dernières nouvelles nationales et internationales sans avoir à sortir de chez moi pour acheter un morceau d'arbre mort imprimé.
J'ai également observé l'état des marchés.
J'ai échangé des mails avec des amis et des collègues qui se trouvent à des centaines de kilomètres de chez moi et j'ai bavardé avec certains en face à face grâce à une connexion vidéo et sans m'être déplacé.
J'ai accompli tout cela sans même y penser.
Nous prenons souvent les changements transformationnels pour acquis. En un rien de temps, nous nous habituons aux profonds bouleversements que nous apporte la technologie. En une très courte période au regard de l'histoire humaine, nous en sommes venus à considérer comme des résultats ordinaires de l'ingéniosité humaine ce qui, il y a peu de temps encore, relevait de l'imaginaire.
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"La plupart des informations dont je dispose ne peuvent pas être diffusées dans les médias. Pourtant, certaines pourraient vous permettre de réaliser des plus-values de 25%... 34,5%... 60%... et bien d'autres"
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Qu'aurait été le coût financier de ces activités il y a encore quelques années -- une période bien moins longue que la durée d'une vie humaine ? Aujourd'hui, cela ne coûte pas plus cher que la modeste dépense d'un ordinateur et d'une connexion internet.
Et je fais tout cela en pyjama.
La capacité de manipuler de petits morceaux de matière semi-conductrice à des échelles toujours plus petites et avec des niveaux de complexité croissants ont révolutionné la génération d'informations et leur communication.
L'information n'est plus rare -- au contraire, nous nous plaignons d'en être inondés. Se maintenir informé n'est plus une chose difficile. Nous sommes agacés par les SMS reçus pendant le repas ou sur la plage. La technologie a rendu incroyablement bon marché l'information et la communication.
Toutefois, ce n'est pas parce que l'information est devenue bon marché que cela signifie que des bénéfices n'ont pas été engrangés dans cette révolution. Des fortunes ont été bâties par les innovateurs -- et leurs investisseurs -- qui ont créé le monde actuel.
En outre, la révolution technologique n'est pas près de s'arrêter. Les mêmes technologies qui nous permettent de regarder, lire et communiquer à travers le monde évoluent et entrent dans une nouvelle dimension.
En fait, elles sortent du monde virtuel pour entrer le monde réel. Nous dépassons le domaine de la manipulation des bits de données numériques pour celui des bits de matière.
Cette transition des bits aux atomes est devenue un champ essentiel de la recherche technologique. Les retombées économiques seront énormes. Grâce à la loi de Moore -- qui n'est pas vraiment une loi mais une observation qui, au fil du temps, s'est avérée une intuition scientifique -- le coût de manipulation des bits de données est devenu exponentiellement moins cher. Cela a permis à un internet mondial de fournir un contenu informationnel, des produits et des services.
Toutefois, le monde du "réel" commence à faire de même. La frontière entre les bits et les atomes s'estompe et l'ancienne économie, celle des objets que vous pouvez toucher, en sera de la même façon transformée, comme nous le verrons dès lundi.
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