Suite à l’agression d’une sénatrice socialiste lors d’un retrait d’argent,
sans qu’aucun témoin ne lève le petit doigt pour lui venir en aide, l’ancien
maire communiste de Gréasque (Bouches du Rhône) a publié sur Internet cette
lettre ouverte qui ne manque pas de sel.
Comme quoi, le bon sens et le franc-parler ne se nichent pas toujours où on pourrait le croire…
Bonjour, Madame la Sénatrice,
Comme quoi, le bon sens et le franc-parler ne se nichent pas toujours où on pourrait le croire…
Bonjour, Madame la Sénatrice,
Vous avez, le 14 juillet dernier, subi une agression que vous relatez dans
Le Courrier picard.
À 14 heures, devant un distributeur, à Compiègne, un homme vous a volé, en pleine rue et devant témoins, l’argent que vous veniez de retirer. Vous l’avez vainement poursuivi, et vous avez déclaré en déplorant le fait que personne ne vous ait aidée : « Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective.
» Non, madame…
Le premier problème de l’insécurité, c’est votre politique d’immigration massive légale et illégale depuis trente ans, et la “libre passoire” instaurée, avec votre aval, par les accords de Schengen.
Le deuxième, c’est le laxisme politique et judiciaire de votre parti fusionné UMPS envers les voyous.
Le troisième, c’est votre ministre de l’Intérieur, petit matamore et pantin articulé qui gesticule et ânonne autant qu’il est inefficace (il ne faut pas froisser votre nouvel électorat d’origine maghrébine et de confession musulmane).
Le quatrième, c’est votre ministre supposée de la Justice dont le laxisme n’a d’égal que l’ignorance historique et la haine de notre pays…
Le cinquième, c’est que dans cette propension à protéger les voyous, si je m’attaque à l’un d’eux pour défendre une victime et que par malchance, je lui occasionne de graves blessures, « votre justice » me conduira en garde à vue et en prison où l’on me dénichera, à moi, simple citoyen, une place que l’on ne trouve pas aux vrais voyous.
Chère madame Rossignol, vous venez donc de goûter, à l’instar de millions
de Français agressés (et souvent avec des conséquences bien plus graves que
celles que vous avez subies), aux joies du « vivre ensemble » que vous prônez
depuis des décennies et à celles de l’insécurité que votre politique promeut en
cajolant tous ceux qui prennent notre pays pour une poubelle.
Veuillez agréer, Madame, mes salutations républicaines
L.A.V.
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