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domingo, 17 de março de 2013

SITUATION DE LA FRANCE


………………LES CONSEILS de DIAFOIRUS et D’ATTALI ………….SONT PASSES PAR LA
( http://minurne.blog4ever.com)

DIAFOIRUS - ATTALI : "CA VOUS GRATOUILLE OU CA VOUS CHATOUILLE ?"


Au début, il n'y eût que les très riches, puis les grands patrons, puis les artistes, puis les professions libérales, puis les commerçants, puis les ouvriers, puis… maintenant les retraités.

Ne cherchons pas à répartir les victimes de l'Etat socialiste entre les différents groupes de la société française, mais plutôt à établir une vision d'ensemble du fléau qui s'est abattu sur elle depuis dix mois.

Faire des catégories ne permettrait pas de comprendre un événement d'une telle ampleur.

Le docteur Diafoirus s'est penché fin janvier sur le grand corps malade de la France pour l'ausculter et son constat est terrible :

1.    62 % pensent que la mondialisation est devenue une menace,
2.    70 % qu'il y a trop d'étrangers,
3.    74 % que l'islam est une religion incompatible avec les valeurs de la République,
4.    86 % voudraient qu'il y ait au sommet de l'Etat un cerveau animé d'une volonté de guérison de nos maux.

Le diagnostic qu'en tire Daifoirus est sans appel : la France est moisie, défaitiste, populiste, il faudrait amputer puis greffer de la chair fraîche et saine, d'origine étrangère certifiée.

Diafoirus-Attali a déjà proposé une solution :


Souvenons-nous qu'au dernier congrès du PS, tous les orateurs ont commencé leur harangue par "Chers camarades".

Au parti hitlérien NSDAP, (comme aujourd'hui encore à son homologue moderne Die Linke), c'était "Liebe genossinnen".

Le "chers camarades" des socialistes que savait si bien hurler Adolf a toujours été un doux poison !

Le personnage de Diafoirus est un médecin, imaginé par Molière, qui parle latin pour masquer son incompétence.

Il parle latin, une langue que personne autour de lui ne peut comprendre, comme aujourd’hui certains politiques jargonnent pour nous maintenir en état de soumission en nous faisant croire qu'ils détiennent le savoir et les solutions, c'est la  langue de bois.

Ne comptons pas sur ceux, grassement payés, dont c'est le métier de nous informer pour utiliser un langage simple et clair, Diafoirus prend sur nos impôts et leur donne de riches subventions qui se chiffrent en millions d'euros (Le Monde, Libé, L'Huma…) pour nous enfumer à coups d'analyses, de sentences et de solutions assénées avec d'autant plus d'énergie que les spécialistes politico-économistes qui les profèrent se sont mis à l'abri des conséquences de ce qu'ils préconisent.

Diafoirus n’est pas intéressé par la santé de la France, il veut seulement tirer profit de la situation. La notoriété, le pouvoir et surtout l’argent sont ses seuls vrais centres d’intérêt.

Tous les jours, nos dirigeants et nos élus affichent leur vanité et leur impuissance.
Ils nous disent qu'ils sont les meilleurs, qu'il nous faut beaucoup souffrir pour les sauver et qu'ils en sont désolés, mais que c'est pour notre bien futur.

Jamais "maintenant", toujours "demain".

Nous devrions nous méfier pourtant, depuis le temps qu'ils nous dirigent ils n'ont jamais rien vu venir.

La crise de 2008 les a autant surpris que celle de 1929 les avait surpris.

Chaque fois, ils préconisent le même remède : la saignée.

Il faut baisser par des artifices réputés indolores les salaires et les retraites de ceux qui travaillent ou ont travaillé toute leur vie jusqu'à 50 heures par semaine sans RTT : CSG, CRDS, TVA, taxes diverses et variées.

Et surtout augmenter les impôts pour pouvoir continuer à payer ceux qui vivent de rentes à vie :

politiciens, syndicalistes, fonctionnaires.

Placés aux commandes, ils ont toute latitude pour augmenter leurs salaires et leurs primes, leurs indemnités et leurs retraites.

Et quand les travailleurs se plaignent de l'amertume de la potion ils se penchent faussement câlins : "Est-ce que ça vous gratouille ou est-ce que ça vous chatouille ?"

Nos salaires sont d'une manière ou d'une autre gelés, nos retraites sont grignotées.

Pensent-ils à la perte de pouvoir d’achat que cela représente pour le peuple des travailleurs ?
"Non, ils palabrent, argumentent, "grenellisent" en disant que  « moins de pouvoir d’achat, c’est moins de demande, donc moins de production, donc plus de chômage et des risques aggravés de crise sociale ce qui découragera d’investir ».

C’est ça, le principe de la spirale en économie. Donc ils palabrent, constatent. Oui, et après ?" (Françoise Gromarin, 26/09/2011)

Nous, les travailleurs, on la connaît la solution. Notre diagnostic n'est pas que nous sommes moisis, pourris, nauséabonds, populisés, ça c'est le diagnostic de Diafoirus et de ses suffisants bobos friqués qui nagent dans un rêve réenchanté.

Notre diagnostic est celui du constat, de l'expérience vécue :

l'Etat est obèse, mal organisé, mal géré.

Il est doublé, triplé, quadruplé d'une série de strates territoriales tout autant obèses, mal organisées, mal gérées par des vicomtes et des baronnets qui ont un seul souci en tête :

quels postes pourrais-je imaginer et créer pour y loger ma femme, mes fils, mes filles, mes cousins, mes amis, mes clients qui votent si bien pour moi ?

Qui, de surcroît me permettraient d'augmenter mon maigre salaire d'élu, de président de ceci, administrateur de cela de quelques prébendes juteuses et ne nécessitant qu'un travail à la portée des sous-fifres qui galèreront pour moi ?

Et puis, il y a la dette du pays, cette dette énorme, fruit de quarante années de gestion énarchisée, dont les seuls intérêts annuels condamnent tout espoir de redresser les comptes et enrichissent les prêteurs internationaux de capitaux, trop souvent donneurs d'ordres des éminences qui nous gouvernent.

Alors que fait-on ?

Il faut diminuer sérieusement les dépenses de l'Etat. "

Il faut", facile à dire, plus difficile à faire.

"Comment, s'égosille Diafoirus, vous voulez réduire le nombre des infirmières, des policiers, réduire les allocations familiales ?"

Mais pourquoi donc Diafoirus ne voit-il comme réductions de dépenses possibles que les dépenses sociales et militaires indispensables à la survie du pays : supprimer des infirmières, des flics, des soldats, réduire les retraites, les remboursements maladies, les indemnités versées aux handicapés ?

Pourquoi ne pense-t-il jamais aux effectifs pléthoriques d'élus, de personnels administratifs qui siestent dans des comités Théodule, absentéisent, ne travaillent (comme au ministère de la Culture) que 24 heures par semaine, aux services dit publics qui se nourrissent mutuellement de notes et de rapports qui tournent en rond sans jamais servir à qui que ce soit, aux personnels municipaux qui se déplacent une demie journée à trois en camion pour aller arroser quelques bacs à fleurs là ou un seul employé d'une entreprise privée ferait le travail plus vite et beaucoup mieux en une heure ?

Pourquoi épargne-il dans son souci d'économies tous ces étrangers qui tel les criquets débarquent par centaines de milliers et se multiplient ensuite sur notre sol encore plus vite ?

Ils ont "droit" aussitôt à des allocations, la santé et l'éducation gratuites, des retraites sans jamais avoir cotisé ni travaillé, des logements que les travailleurs locaux attendaient depuis des années en vain, obtenus par l'intercession d'associatifs véreux nourris de subventions financées par nos impôts, créant ainsi une énorme injustice sociale que les gens du pays ressentent de plus en plus mal ?

Pourquoi le colon ou fils de colon maghrébin qui brûle des voitures pour fêter le Nouvel An ou la fin de l'Aït el-Kébir, deale de la drogue, violente les filles, tue les bijoutiers et les flics avec des grosses voitures parfois louées, le plus souvent volées, a-t-il le droit de "s'amuser" comme dit la Taubira qui enjoint à ses juges de ne pas l'inquiéter et aux élus de l'amnistier comme un vulgaire syndicaliste, alors que pour un stationnement irrégulier, un léger excès de vitesse sur une autoroute fluide, un retard de trois jours dans le règlement d'une taxe, le travailleur local est matraqué et volé par l'Etat prédateur ?

Et les frais somptuaires, ces déplacements inutiles en avion pour aller plastronner cerné de gardes du corps et débiter des rodomontades en consolant pendant trois minutes la veuve qui ne reverra jamais son mari assassiné par un voyou destiné à être relâché au bout de quelques années, parfois quelques mois, ou qui obtiendra un sursis ?

Et ces innombrables appartements, domestiques et voitures de fonction dont sont pourvus nos élus et dépourvus même les ministres allemands, suédois ou suisses dont les pays sont pourtant bien plus riches que le nôtre ?

Et ces élus quasi grabataires qui s'accrochent à leur poste en cumulant retraites multiples, salaires multiples, indemnités multiples, remboursements de frais avec pour seule vraie dépense de cotiser au parti subventionné qui les soutient et les pistonne ?

Comment peut-on imaginer qu’un  pays auquel on inflige un tel traitement sans vrai remède pourra retrouver la croissance, condition sine qua non d’une économie saine ?

On appauvrit, on ruine, on désespère, on affame le peuple français. S'il montre son désaccord, on l'insulte (populiste, réac, homophobe, puant…) et on l'ignore comme l'ont fait le pingouin-roi et son CESE récemment.

Le peuple, lui, s’aperçoit, que la récession enrichit ceux qui savent spéculer, politiser, syndiquer et naviguer dans la fange. Il voit aussi que les donneurs de leçons sociales, les Noah, les Emmanuelle Béart, tous ces artistes qui vivent à l'étranger mais nous font honte aux restos du cœur et autres téléthons en nous reprochant de ne pas donner assez, se font payer pour leur prestations, ont de multiples et grandes propriétés comme le premier Mélenchon venu, qu'ils n'ouvrent jamais pour y loger et y nourrir quelques SDF ou familles en difficulté.

Il voit, le peuple, la paupérisation du plus grand nombre face à quelques nantis de la politique et de l'immigration alors que ce ne devrait pas être aux pauvres et à ceux qui gagnent leur vie par leur travail de se serrer la ceinture, mais à ceux qui jouissent toute leur vie de rentes salariales ou subventions fournies par l'Etat en échange de peu de prestations, comme ce Hollande qui en bénéficiant l'avoua dans une vidéo.

Ceux-là, essayons de les obliger à participer à l'effort collectif, à payer eux aussi. Il y aura le 24 mars prochain, phase où l'on montrera notre détermination et un peu les dents, puis les prochaines élections municipales où il faudra boycotter les professionnels incompétents de la politique et de l'establishment des partis pour trouver des gestionnaires compétents, en se souvenant que la récession n'est  pas un désastre pour tout le monde : l’idéal pour ceux-là serait une aggravation de la crise qui ferait encore plus de gens à pressurer par l'impôt, d'immigrés réfugiés quémandeurs, d'opportunités de faire passer des réformes sociétales qui n'ont pour objectif que d'orwelliser (pauvreté, ignorance et esclavage) le peuple, tout en contribuant a des degrés divers à leur bonheur financier personnel.

Maurice D. 




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